Un médecin ne vous tend pas un médicament en disant ‘Prenez ça’ sans vous poser de questions. D’abord, il écoute. Il identifie votre douleur. Et quand il vous donne le traitement, vous l’acceptez… parce que vous savez pourquoi vous en avez besoin.
En copywriting, c’est pareil. Si vous présentez la solution avant que le prospect ressente vraiment le problème, il n’est pas prêt à l’entendre. Un bon copywriter commence par parler du manque, de la frustration, de la douleur. Il plonge le lecteur dans sa réalité actuelle, lui fait ressentir pourquoi la situation ne peut pas durer. Et seulement après, il apporte la réponse.
Parce qu’une solution qu’on ne relie à aucun problème… n’est pas une solution du tout.
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