Vous êtes sur le point d’acheter un billet d’avion. La destination est parfaite, le prix est bon… mais une pensée vous traverse l’esprit : ‘Et si mon vol est annulé ? Et si je trouve moins cher ailleurs ?’ Le doute s’installe. Vous hésitez. Vous reportez. Vous n’achetez pas. En copywriting, c’est pareil. Chaque prospect […]
Vous ouvrez une lettre et lisez : ‘Cher client, nous avons une offre spéciale pour vous.’ Vous sentez immédiatement que ce message aurait pu être envoyé à n’importe qui. Vous ne vous sentez pas concerné. Maintenant, imaginez que l’email commence par : ‘Sarah, j’ai une question pour vous…’ Là, c’est différent. Vous êtes interpellé. Vous
Imaginez que vous lisez deux publicités pour une voiture. La première dit : ‘Un moteur puissant et une excellente tenue de route.’ La seconde : ‘Vous appuyez sur l’accélérateur et sentez la poussée vous coller au siège. Chaque virage est une caresse, chaque ligne droite une explosion de liberté.’ Laquelle vous donne envie de conduire
Lire un texte sans image mentale, c’est comme manger un plat sans saveur. Ça nourrit, mais ça ne laisse aucun souvenir. Un bon copywriter sait qu’un message n’est pas seulement compris, il est ressenti. Dire ‘Notre formation vous fera progresser rapidement’ est fade. Mais dire ‘C’est comme passer de la trottinette à la Formule 1
Un ami vous dit : ‘Ce film est incroyable, vraiment émouvant.’ Bon, ok. Peut-être. Maintenant, imaginez qu’il vous dise : ‘À la fin du film, toute la salle était en larmes. Même le type tatoué, l’air dur, au fond… il essuyait discrètement ses yeux.’ Là, vous ressentez quelque chose. Vous voyez la scène. Et vous
Imaginez un serveur qui vous décrit un plat : ‘Il s’agit d’une émulsion aérienne d’œufs agrémentée d’un coulis végétal sur une base croustillante de céréales grillées.’ Vous hésitez… Puis un autre serveur vous dit : ‘C’est une omelette au pain grillé, avec une sauce tomate maison.’ Là, vous comprenez. Vous visualisez. Et vous avez envie.
Un homme entre dans un concessionnaire. Il voit une voiture de sport rouge, lignes parfaites, moteur qui ronronne comme une promesse de liberté. Il la veut. Puis il regarde le prix… et là, son cerveau cherche des raisons de justifier l’achat. ‘Après tout, je travaille dur… C’est un bon investissement… Et puis, la sécurité est
Un magicien ne commence jamais son tour en révélant le truc. Un humoriste ne balance pas sa chute avant d’avoir construit sa blague. Alors pourquoi un copywriter balancerait-il son offre sans créer l’attente et l’envie ? Une page de vente, c’est une construction. Chaque élément doit amener le lecteur plus loin, jusqu’à l’action finale. Si
Vous recevez un message qui commence par : ‘Cher utilisateur, nous vous informons que notre nouvelle offre promotionnelle est actuellement disponible.’ Vous le lisez jusqu’au bout ? Bien sûr que non. Maintenant, imaginez un ami qui vous envoie : ‘Hé, j’ai pensé à toi ! Tu vas adorer cette offre, elle ne dure que 24h.’
Un bon film ne vous donne pas toutes les réponses dès la première scène. Il sème des indices, il ouvre des questions, il vous force à rester jusqu’au bout. Une page de vente doit faire exactement la même chose. Si vous dévoilez tout trop vite, le lecteur se dit ‘Ok, j’ai compris’ et il s’en
Vous entrez dans un magasin. Vous voulez juste acheter un pull. Mais à l’entrée, on vous demande de remplir un formulaire. Puis, au moment de payer, le terminal carte bleue bugue. Au bout d’un moment, vous laissez tomber et vous partez. Sur une page de vente, c’est pareil. Chaque obstacle, chaque hésitation, chaque moment d’inconfort
Imaginez une rue bordée de cafés. Tous proposent la même chose : ‘Café bio’, ‘Cappuccino maison’, ‘Viennoiseries artisanales’. Vous avancez sans vous arrêter… jusqu’à ce que vous tombiez sur un établissement avec une pancarte qui dit : ‘Ici, le café est infusé 24h pour un goût inimitable. Testez ou regrettez.’ Intrigué, vous poussez la porte.
Un enfant s’assoit pour écouter une histoire. L’adulte ouvre son livre et commence par : ‘Il était une fois un royaume lointain où vivait un roi sage et bienveillant…’ Déjà, l’enfant se tortille sur sa chaise. Maintenant, imaginez qu’il commence par : ‘Le roi ouvrit les yeux en sursaut. Quelqu’un venait de glisser une lettre
Vous ouvrez un email. Première phrase : ‘Bonjour, j’espère que vous allez bien.’ Deuxième phrase : ‘Aujourd’hui, je voulais vous parler de quelque chose d’important.’ Déjà, vous avez envie de fermer. Pourquoi ? Parce que vous ne savez toujours pas où ça va. Un email doit captiver dès la première ligne. Le lecteur doit comprendre
Personne n’aime le vendeur qui insiste, qui force, qui vous bloque dans un coin du magasin avec un ‘Cette offre est unique, vous devez décider maintenant !’ On recule. On se méfie. On dit non, même si on était intéressé. En copywriting, c’est pareil. Si vous poussez trop fort, vous brisez la confiance. Un bon