Un enfant s’assoit pour écouter une histoire. L’adulte ouvre son livre et commence par : ‘Il était une fois un royaume lointain où vivait un roi sage et bienveillant…’ Déjà, l’enfant se tortille sur sa chaise. Maintenant, imaginez qu’il commence par : ‘Le roi ouvrit les yeux en sursaut. Quelqu’un venait de glisser une lettre sous sa porte… une lettre qui allait tout changer.’ Là, il reste accroché. Il veut savoir la suite.
En copywriting, c’est pareil. Si la première phrase ne capte pas l’attention, tout le reste est perdu. Un bon copywriter sait que le lecteur n’est pas patient. Il scrolle, il zappe, il est assailli de distractions. S’il n’est pas immédiatement accroché, il ne vous laissera pas une deuxième chance.
L’erreur ? Commencer par une introduction fade, poser trop de contexte, mettre des banalités. Chaque mot doit donner envie de lire le suivant. Une question intrigante, une image frappante, une déclaration inattendue… Peu importe la méthode, tant que l’effet est là : forcer le cerveau du lecteur à continuer.
Car une page de vente ne se lit pas comme un roman. Elle doit capturer, happer, retenir. Et tout commence avec une première phrase impossible à ignorer.
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