Un email, c’est comme une porte d’entrée. Si l’objet et le pré-header sont mal choisis, personne ne franchit le seuil. Et pourtant, beaucoup de messages sont sabotés avant même d’être ouverts… à cause de quelques mots maladroits. ‘Offre exceptionnelle’, ‘Ne manquez pas ça’, ‘Dernière chance’… Ces phrases ont été tellement utilisées qu’elles sonnent creux. Elles […]
Vous commencez un film. Première scène : un personnage court, essoufflé, regardant sans cesse derrière lui. On ne sait pas encore pourquoi… mais on veut savoir. Alors, on reste. En emailing, c’est la même chose. Si vous donnez tout tout de suite, il n’y a plus de raison de continuer. Un bon copywriter sait distiller
Un jour, un ami arrête de vous donner des nouvelles. Au début, vous pensez qu’il est occupé. Puis les semaines passent. Vous finissez par l’oublier. Et si, un an plus tard, il vous envoie un message pour demander un service, vous hésitez. Pourquoi répondre, alors qu’il a disparu pendant tout ce temps ? En emailing,
Imaginez un vendeur qui accueille chaque nouveau client avec le même sourire, la même énergie, le même discours fluide… 24h/24, 7j/7, sans jamais être fatigué. Impossible pour un humain. Mais avec une séquence email bien pensée, c’est exactement ce que vous pouvez faire. Une séquence automatisée, c’est une conversation qui se déclenche au bon moment
Vous voyez un email dans votre boîte de réception. L’objet capte votre attention, mais juste en dessous, le pré-header affiche : ‘Si vous ne voyez pas cet email, cliquez ici.’ Intérêt : zéro. Vous passez au suivant. Le pré-header, c’est la deuxième chose que votre lecteur voit après l’objet. C’est votre chance de l’accrocher encore
3 jours sans nouvelles… et on vous oublie. 3 emails en 24h… et on vous fuit. L’équilibre est fragile. L’emailing, c’est comme une relation. Si vous disparaissez trop longtemps, votre audience perd l’habitude de vous lire. Mais si vous bombardez votre liste, elle se lasse et se désabonne. Un bon copywriter sait qu’il ne suffit
Kate Moss disait : ‘Rien n’a aussi bon goût que la sensation d’être mince.’ Que vous soyez d’accord ou non, ce qui est frappant ici, ce n’est pas la phrase elle-même, mais qui la prononce. Son statut de supermodel donne du poids à ses mots. En marketing, c’est pareil. Les gens ne croient pas ce
Un email, c’est comme une blague. Si c’est trop long à arriver au point, on décroche avant la chute. Dans un monde où tout va vite, où les boîtes de réception débordent, chaque mot compte. Votre lecteur scrolle, filtre, zappe. S’il ne comprend pas immédiatement pourquoi votre email mérite son attention, il l’abandonne. Un bon
Un bon email, c’est comme une danse. Si vous attrapez quelqu’un par le bras en criant ‘Viens danser !’, il va reculer. Mais si vous commencez par un regard, un sourire, un simple geste… il est déjà en train de suivre votre rythme. En copywriting, c’est pareil. Un lecteur ne passe pas de ‘je lis’
Quand votre téléphone vibre et que vous voyez une nouvelle notification d’email, que faites-vous ? Parfois, vous ouvrez sans réfléchir. D’autres fois, vous ignorez complètement. Pourquoi ? La réponse tient en un mot : l’intérêt. Un lecteur n’ouvre un email que s’il pense qu’il va lui apporter quelque chose : une info utile, une surprise,
Vous vous rendez compte que vous recevez le même email promo qu’un client fidèle qui achète depuis des années… alors que vous, vous n’avez jamais rien commandé. Logique ? Pas vraiment. Et pourtant, c’est ce que font beaucoup de marques : elles envoient le même message à tout le monde, sans distinction. Résultat ? Une
Imaginez que vous préparez une grande présentation. Vous avez tout donné : un discours percutant, des visuels léchés, une offre irrésistible. Mais au moment de projeter votre diaporama… rien ne s’affiche. Problème technique. Panique. Vous perdez votre audience avant même d’avoir commencé. En emailing, c’est pareil. Un lien qui ne fonctionne pas, un bouton qui
On n’y pense pas souvent, mais le PS est l’un des endroits les plus lus d’un email. Après l’objet et la première phrase, c’est ce qui attire le plus l’œil. Pourtant, beaucoup de copywriters l’ignorent, laissant filer une occasion en or de marquer les esprits… et de vendre. Pourquoi ça marche ? Parce que le
L’autre jour, j’ai reçu un email d’une marque dont je ne me souvenais même plus. Je l’ouvre, et là, bam : une promo, un bouton ‘Achetez maintenant’, un compte à rebours stressant. Pas de bonjour, pas d’histoire, juste une tentative brute de me faire sortir ma carte bleue. J’ai fermé l’email en moins de trois
Imaginez que vous lisez un email captivant. Tout est fluide, bien écrit, engageant… puis, à la fin, rien. Pas de lien, pas de bouton, pas d’instruction claire sur ce que vous devez faire ensuite. Vous haussez les épaules et fermez l’email. Dommage, non ? Un bon email, c’est comme un bon scénario : chaque élément