Un bon email, c’est comme une danse. Si vous attrapez quelqu’un par le bras en criant ‘Viens danser !’, il va reculer. Mais si vous commencez par un regard, un sourire, un simple geste… il est déjà en train de suivre votre rythme.
En copywriting, c’est pareil. Un lecteur ne passe pas de ‘je lis’ à ‘j’achète’ en un claquement de doigts. Il a besoin d’un chemin progressif, avec des petits engagements tout au long du parcours. C’est ce qu’on appelle le principe du micro-oui : chaque phrase doit amener un petit ‘oui’ mental, une mini-adhésion qui le fait avancer vers la décision finale.
Un bon copywriter pose des questions auxquelles on répond instinctivement ‘oui’, suscite des hochements de tête invisibles, crée une dynamique où le lecteur dit ‘oui’ sans même s’en rendre compte. Et quand arrive l’appel à l’action… il est déjà prêt à cliquer.
Parce qu’un grand ‘oui’ commence toujours par une série de petits.
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